La classe de 3e Bolt s’est rendue au LaM le 15 novembre 2013 pour y découvrir des œuvres du cubisme et du surréalisme.
La sortie des 3e Bolt a eu lieu le 15 novembre de 15h15 à 18h15. Les élèves de cette classe, accompagnés par leur professeur d’arts plastiques et leur professeur de français, ont pu découvrir, admirer et se renseigner sur les différentes œuvres exposées au LaM. Cette exposition d’œuvres, prêtées par le Centre Pompidou au musée pour un certain temps, portait particulièrement sur le cubisme et le surréalisme.
La classe de troisième s’est donc rendue en bus au LaM et a pu visiter son parc, où se trouvaient quelques sculptures. Elle est ensuite entrée dans le bâtiment, a déposé ses affaires et a suivi la guide. Celle-ci a raconté les débuts et les premières années de Kahnweiler en tant que galeriste à travers une œuvre : « La femme lippue » de Van Dongen, un des artistes engagés par Kahnweiler. Les élèves ont pu également voir les catalogues de ventes aux enchères de Kahnweiler de novembre 1921. La guide leur a présenté également l’œuvre « La Guitare » de Juan Gris que les élèves avaient déjà travaillée en classe.
La visite s’est poursuivie par la présentation d’une peinture de l’une des femmes de Picasso par lui-même, une nature morte également peinte par Picasso ainsi qu’une œuvre de Fernand Léger s’inspirant de Picasso.
Les élèves ont pu être informés sur la manière de peindre d’André Masson, qui prenait de l’opium pour faire des rêves en restant éveillé et les peindre.
La sortie s’est terminée par une rapide présentation de « L’Atelier » de Picasso qui rendait hommage à Henri Matisse.
La visite a été intéressante et les élèves ont pu comprendre et apprendre, approfondir ce qu’ils savaient au départ ainsi que découvrir d’autres œuvres. La guide leur a raconté les débuts du galeriste à la façon d’une histoire, qui a intéressé les élèves qui ont pu prendre plaisir à participer à l’oral.
En revanche, il aurait été mieux de laisser aux élèves une petite demi-heure pour observer les autres œuvres en « quartier libre ».
Hildegarde Allain